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Que sont devenus les modules de skateboard des Jeux de Paris 2024 promis à la Seine-Saint-Denis ?
Le département francilien comptait réinstaller à Noisy-le-Sec et à La Courneuve, avant la fin 2025, certaines structures de skateboard street des JO. Retardé, le projet est désormais prévu pour 2027.
Les épreuves de skateboard street des Jeux olympiques de Paris 2024 ont donné un élan à la discipline. Depuis, plusieurs villes de France, comme Vincennes (Val-de-Marne) ont repensé des espaces publics pour s’adapter à cette discipline de rue. Mais les effets de certaines promesses formulées au moment des JO se font encore attendre. Deux des trois modules du skatepark des Jexu de Paris, un dispositif d’entraînement et un autre de compétition, devaient notamment être déplacés en Seine-Saint-Denis d’ici la fin de l’année 2025.
Pourtant, ce samedi 11 octobre, aucune trace d’un quelconque chantier. Lors des JO, l’espace d’échauffement, d’environ 500 m2, et le plateau de streetpark, de près de 2 000 m2, utilisés pour les finales, avaient pris forme au parc urbain de la place de la Concorde – le lieu avait accueilli les épreuves de skateboard, de basketball 3×3, de BMX freestyle et de breakdance. Ils devaient être réinstallés respectivement à Noisy-le-Sec, sur une parcelle située sous le pont de l’A86, au bord du canal de l’Ourcq, et à La Courneuve, au sein du parc départemental des sports de Marville.
Le Monde
Le département francilien comptait réinstaller à Noisy-le-Sec et à La Courneuve, avant la fin 2025, certaines structures de skateboard street des JO. Retardé, le projet est désormais prévu pour 2027.
Les épreuves de skateboard street des Jeux olympiques de Paris 2024 ont donné un élan à la discipline. Depuis, plusieurs villes de France, comme Vincennes (Val-de-Marne) ont repensé des espaces publics pour s’adapter à cette discipline de rue. Mais les effets de certaines promesses formulées au moment des JO se font encore attendre. Deux des trois modules du skatepark des Jexu de Paris, un dispositif d’entraînement et un autre de compétition, devaient notamment être déplacés en Seine-Saint-Denis d’ici la fin de l’année 2025.
Pourtant, ce samedi 11 octobre, aucune trace d’un quelconque chantier. Lors des JO, l’espace d’échauffement, d’environ 500 m2, et le plateau de streetpark, de près de 2 000 m2, utilisés pour les finales, avaient pris forme au parc urbain de la place de la Concorde – le lieu avait accueilli les épreuves de skateboard, de basketball 3×3, de BMX freestyle et de breakdance. Ils devaient être réinstallés respectivement à Noisy-le-Sec, sur une parcelle située sous le pont de l’A86, au bord du canal de l’Ourcq, et à La Courneuve, au sein du parc départemental des sports de Marville.
Le Monde