- Entrou
- Out 5, 2021
- Mensagens
- 55,010
- Gostos Recebidos
- 1,539
La « génération dorée » du volley-ball français en quête d’un premier sacre mondial
Les doubles champions olympiques, qui affrontent dimanche à midi la Corée du Sud, vont essayer de remporter aux Philippines le seul titre qui manque encore à leur palmarès.
L’équipe de France masculine de volley-ball veut « marquer un peu plus l’histoire », mais le temps presse. Du moins pour une partie de ses cadres. Aux Jeux de Paris, à l’été 2024, les Bleus ont réussi à conserver leur couronne olympique glanée à Tokyo en 2021, une prouesse que seules deux nations avaient accomplie par le passé, l’URSS (1964, 1968) et les Etats-Unis (1984, 1988). Ni l’une ni l’autre n’a, en revanche, enchaîné avec un titre mondial. Et c’est bien cet objectif que vise la « génération dorée » lors des championnats du monde de la discipline, qui se déroulent jusqu’au 28 septembre, aux Philippines.
Pour Benjamin Toniutti, 35 ans, Jenia Grebennikov, 35 ans, Earvin Ngapeth, 34 ans, et Nicolas Le Goff, 33 ans, ce rendez-vous représente la dernière chance de décrocher l’unique sacre qui manque encore au palmarès de la sélection. Les quatre compères sont les seuls présents au Mondial à avoir remporté tous les titres du volley tricolore : de l’Euro 2015 aux JO 2021 et 2024 en passant par les titres en Ligue des nations en 2015, 2017, 2022 et 2024.
« Je ne cours pas après les records, mais être en équipe de France depuis plus de quinze ans est une fierté, explique le capitaine, Benjamin Toniutti, 403 capes avec les Bleus. J’ai envie de terminer ma carrière par un succès. Ce qu’on retiendra, ce sont les titres que nous avons obtenus. »
Le Monde

Les doubles champions olympiques, qui affrontent dimanche à midi la Corée du Sud, vont essayer de remporter aux Philippines le seul titre qui manque encore à leur palmarès.
L’équipe de France masculine de volley-ball veut « marquer un peu plus l’histoire », mais le temps presse. Du moins pour une partie de ses cadres. Aux Jeux de Paris, à l’été 2024, les Bleus ont réussi à conserver leur couronne olympique glanée à Tokyo en 2021, une prouesse que seules deux nations avaient accomplie par le passé, l’URSS (1964, 1968) et les Etats-Unis (1984, 1988). Ni l’une ni l’autre n’a, en revanche, enchaîné avec un titre mondial. Et c’est bien cet objectif que vise la « génération dorée » lors des championnats du monde de la discipline, qui se déroulent jusqu’au 28 septembre, aux Philippines.
Pour Benjamin Toniutti, 35 ans, Jenia Grebennikov, 35 ans, Earvin Ngapeth, 34 ans, et Nicolas Le Goff, 33 ans, ce rendez-vous représente la dernière chance de décrocher l’unique sacre qui manque encore au palmarès de la sélection. Les quatre compères sont les seuls présents au Mondial à avoir remporté tous les titres du volley tricolore : de l’Euro 2015 aux JO 2021 et 2024 en passant par les titres en Ligue des nations en 2015, 2017, 2022 et 2024.
« Je ne cours pas après les records, mais être en équipe de France depuis plus de quinze ans est une fierté, explique le capitaine, Benjamin Toniutti, 403 capes avec les Bleus. J’ai envie de terminer ma carrière par un succès. Ce qu’on retiendra, ce sont les titres que nous avons obtenus. »
Le Monde