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- Out 5, 2021
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Rennes confirme son redressement en Ligue 1 en s’imposant chez le Paris FC
Entré en jeu en seconde période, Breel Embolo a offert à Rennes une victoire précieuse, la deuxième d’affilée, qui éloigne la crise et propulse le club dans la première moitié du classement de Ligue 1.
Les nuages gris commencent à se dissiper au-dessus du Stade rennais et de son entraîneur, Habib Beye. Au bord de la crise il y a encore quelques jours, le club breton a enchaîné, vendredi 7 novembre, une deuxième victoire d’affilée en Ligue 1 en battant le Paris FC (1-0) en ouverture de la 11e journée au stade Jean-Bouin, dans ce premier duel symbolique entre les propriétaires des deux clubs, les familles des milliardaires Bernard Arnault (Paris) et François Pinault (Rennes), dynasties déjà rivales dans le luxe, le vin et l’art.
Alors que la rencontre se dirigeait vers un match nul plutôt logique, Breel Embolo, rentré en jeu quelques minutes plus tôt à la place de Kader Meïté, a profité d’une contre-attaque rennaise, d’un ballon donné par son capitaine, Valentin Rongier, pour prendre de vitesse Otavio et tromper du gauche Obed Nkambadio (81e).
Une efficacité implacable qui a donc permis à Rennes de valider le carton infligé à Strasbourg (4-1) à domicile lors de la dernière journée, d’écarter un peu plus loin encore la crise qui couvait et la menace sur l’entraîneur de se positionner enfin dans la première moitié du classement du championnat, à la 8e place, avant les autres rencontres du week-end.
Brice Samba en forme et en réussite
Sa victoire, Rennes la doit beaucoup également à son gardien international : pourtant prolifique en attaque cette saison, avec 18 buts inscrits en 11 rencontres, le Paris FC a buté tout au long de la partie sur un grand Brice Samba. L’ambitieux promu, bien contenu dans son camp par un solide pressing rennais, s’est pourtant créé les plus belles occasions de la partie.
A la 35e minute notamment, quand Ilan Kebbal a trouvé, côté droit, son capitaine, Maxime Lopez, qui en une touche, a placé Pierre Lees-Melou seul face à Samba. Mais le gardien international a repoussé de la jambe la lourde frappe du milieu parisien. Comme ses coéquipiers dans le champ, plus solides dans les duels, Samba a remporté un nouveau face-à-face cette fois face à Jean-Philippe Krasso, lancé à la limite du hors-jeu par Adama Camara (39e).
Et lorsqu’il n’a pas pu écarter les offensives adverses tout seul, le portier breton a été sauvé par ses montants, d’abord sur une frappe de Samir Chergui (65e), puis la barre transversale après un tir lointain de Thibault De Smet (76e).
En face, avant d’être terrassé par Embolo, Nkambadio avait été plus sollicité, sur les corners de Djaoui Cissé surtout, mais moins mis en danger. L’ancien international espoir s’était notamment illustré en repoussant une frappe puissante de Kader Meïté après une contre-attaque lancée par Mahdi Camara (44e), puis s’était à nouveau déployé pour repousser un coup franc direct de Cissé à trente mètres du but du Paris FC (56e).
Il n’a rien pu faire face à l’international suisse, la défaite laissant son équipe à la 11e place du classement avant la trêve internationale.
Le Monde
Entré en jeu en seconde période, Breel Embolo a offert à Rennes une victoire précieuse, la deuxième d’affilée, qui éloigne la crise et propulse le club dans la première moitié du classement de Ligue 1.
Les nuages gris commencent à se dissiper au-dessus du Stade rennais et de son entraîneur, Habib Beye. Au bord de la crise il y a encore quelques jours, le club breton a enchaîné, vendredi 7 novembre, une deuxième victoire d’affilée en Ligue 1 en battant le Paris FC (1-0) en ouverture de la 11e journée au stade Jean-Bouin, dans ce premier duel symbolique entre les propriétaires des deux clubs, les familles des milliardaires Bernard Arnault (Paris) et François Pinault (Rennes), dynasties déjà rivales dans le luxe, le vin et l’art.
Alors que la rencontre se dirigeait vers un match nul plutôt logique, Breel Embolo, rentré en jeu quelques minutes plus tôt à la place de Kader Meïté, a profité d’une contre-attaque rennaise, d’un ballon donné par son capitaine, Valentin Rongier, pour prendre de vitesse Otavio et tromper du gauche Obed Nkambadio (81e).
Une efficacité implacable qui a donc permis à Rennes de valider le carton infligé à Strasbourg (4-1) à domicile lors de la dernière journée, d’écarter un peu plus loin encore la crise qui couvait et la menace sur l’entraîneur de se positionner enfin dans la première moitié du classement du championnat, à la 8e place, avant les autres rencontres du week-end.
Brice Samba en forme et en réussite
Sa victoire, Rennes la doit beaucoup également à son gardien international : pourtant prolifique en attaque cette saison, avec 18 buts inscrits en 11 rencontres, le Paris FC a buté tout au long de la partie sur un grand Brice Samba. L’ambitieux promu, bien contenu dans son camp par un solide pressing rennais, s’est pourtant créé les plus belles occasions de la partie.
A la 35e minute notamment, quand Ilan Kebbal a trouvé, côté droit, son capitaine, Maxime Lopez, qui en une touche, a placé Pierre Lees-Melou seul face à Samba. Mais le gardien international a repoussé de la jambe la lourde frappe du milieu parisien. Comme ses coéquipiers dans le champ, plus solides dans les duels, Samba a remporté un nouveau face-à-face cette fois face à Jean-Philippe Krasso, lancé à la limite du hors-jeu par Adama Camara (39e).
Et lorsqu’il n’a pas pu écarter les offensives adverses tout seul, le portier breton a été sauvé par ses montants, d’abord sur une frappe de Samir Chergui (65e), puis la barre transversale après un tir lointain de Thibault De Smet (76e).
En face, avant d’être terrassé par Embolo, Nkambadio avait été plus sollicité, sur les corners de Djaoui Cissé surtout, mais moins mis en danger. L’ancien international espoir s’était notamment illustré en repoussant une frappe puissante de Kader Meïté après une contre-attaque lancée par Mahdi Camara (44e), puis s’était à nouveau déployé pour repousser un coup franc direct de Cissé à trente mètres du but du Paris FC (56e).
Il n’a rien pu faire face à l’international suisse, la défaite laissant son équipe à la 11e place du classement avant la trêve internationale.
Le Monde
